EXODUS "1er Opus" juin 2024

Bienvenu à Exodus, le nouveau jeu proposé par l'association Terres Sauvages.
L'histoire se déroule 200 ans après les précédents événements. Venez incarner les vaillants survivants de l'exode qui devront désormais partir à la conquête des Terres Sauvages.
Le jeu se déroule du vendredi soir au dimanche après midi.
Nous proposons un forfait repas et la vente de boissons mais vous pouvez ramener les votre.
Les tarifs d'inscriptions sont :
- Jusqu'au 1 mars PJ = 70€ et PNJ = 20€
- Du 1 mars au 1 mai PJ = 80€ et PNJ = 30€
- Du 1 mai au 14 juin PJ = 90€ et PNJ = 40€
- Sur place PJ = 100€ et PNJ = 50€
- Forfait repas 35€
Inscription à l'événement : Inscriptions
Une fois inscrit, remplissez le formulaire de création de personnage ici :  docs.google.com/forms/d/1si16YB2hZCfzbqodUZqB94FKchMoU9XJ-c4or1hVFIQ/prefill 
Lisez bien le livret de règle qui explique en détail le jeu Exodus,
retrouvez les règles du jeu sur : Règles du jeu
 
Synopsis :
« Pendant près de deux cents ans, ce fut le grand « chamboulement ».
La disparition de la magie impacta de façon significative l’existence des royaumes. Cette
énergie fascinante et très puissante, utilisée depuis des millénaires et ayant servi à
imprégner des édifices partout dans le monde afin de protéger les cités du déchaînement
des éléments n’était plus. La clef de voûte d’une ère entière se brisa, mettant à bas les
civilisations tout en laissant la nature reprendre ses droits en condamnant les habitants
d’Actéon à l’exode.
Les premières victimes furent les Nains dont les royaumes souterrains s’effondrèrent suite
à d’énormes tremblements de terre.
Les survivants se retrouvèrent sans refuge, errant sans but, vivant de petits travaux de
forge ou de joaillerie. Ils finirent par devenir mercenaire sous le nom de la compagnie
d’Eben, une armée au service du plus offrant.
Les archipels de la pointe du corbeau subirent de puissants typhons et de gigantesques raz
de marée. Le pays de Wakobé abritant les derniers hommes singes de ce monde fut anéanti.
Seules quelques chaloupes purent atteindre le continent sur lequel les simiens posèrent les
pieds pour la première fois et ce, dans le plus grand désarroi.
En Arkendia, la chaleur atteignit des sommets. Tel le feu des enfers, d’anciens volcans se
réveillèrent, leurs constantes éruptions achevèrent de persuader les Arkendiens de quitter
le continent. Défigurés par le soleil, leurs membres et leurs visages recouverts de
bandelettes, « les brûlés d’Arkendia » et « les elfes rouges » foulent désormais les Terres
Sauvages à la recherche d’un refuge.
Énormément de victimes des quatre coins du monde finirent par se rassembler en un
gigantesque camp de fortune, se déplaçant constamment à la recherche de conditions de vie
plus favorables, telle une énorme cité mouvante, se déplaçant de ci de là, au gré des
ressources disponibles.
Les années passent, mais la chaleur reste omniprésente ce qui rend les conditions de vie
très difficiles. Le désert de la mer de sable empiète constamment sur les dernières terres
fertiles. Ce n’est qu’une question de temps avant que toute trace d’eau ne disparaisse des
Terres du Sud.
Aujourd’hui, se tourner vers la grande forêt des Terres Sauvages se situant tout au nord
apparaît comme une évidence. Pourtant les récits des anciens avaient toujours dissuadé
quiconque de s’y aventurer. Cependant la situation est telle qu’il n’y a plus d’autre choix.
Les plus vaillants, ou les plus désespérés de cette communauté de fortune, formèrent une
caravane pour prendre la route du nord et quitter la mer de sable. Le voyage ne fut pas
aisé.
Entre les sables mouvants, les mangeurs de sables géants et les gorgones sauvages,
nombreux furent ceux qui périrent. Une grande majorité atteignit tout de même Fort
Espérance la Maudite, une ville à l’abandon, en ruine, où de nombreux faits marquants et
décisifs de l’histoire se sont produits. (Vivez l’arrivée dans les Terres Sauvages en
participant au Prologue « Exodus – prologue – Mars 2024)
Cela fait maintenant quelques semaines que les groupes sont installés en un vaste
campement autour de la ville. Différentes échoppes et ateliers ont été installés pour
subvenir au maximum à tous les besoins des colons.
Fort Espérance renaissant de ses cendres est devenue une ville frontière, un refuge pour
l’accès aux terres sauvages du grand nord.
La faim se fait toujours ressentir et les réserves de nourriture ne sont pas suffisantes, les
aventuriers devront désormais conquérir des territoires inexplorés s’ils veulent survivre. »